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A moins de trois semaines du premier tour des élections départementales, tous les candidats (ou partis politiques), font connaître leurs positions et propositions sur Twitter, Facebook ou encore Youtube. Ces plateformes semblent désormais incontournables pour qui se présente face aux électeurs.

Ils sont jeunes, candidats, et naturellement à l'heure du numérique. A quelques semaines des élections départementales (22 et 29 mars), battre la campagne sur le terrain est indispensable, mais s'appuyer sur les réseaux sociaux est pour cette nouvelle génération une option à ne pas ignorer. Si publier son activité sur Internet permet de maintenir la pression sur les adversaires, Blandine Rocca-Vinagre (@blandinerocca), candidate UMP à Clermont-Ferrand, souligne également que "c'est une façon, au-delà du traditionnel communiqué de presse d'avoir un lien direct et facile avec les journalistes pour qu'ils connaissent notre action".

"Si on n'est pas sur les réseaux sociaux, c'est comme si on n'existait pas" reconnaît Florent Naranjo (@FlorentNARANJO) qui porte l'étiquette Front de Gauche/Europe Ecologie les Verts pour ce scrutin. Sur ce point, voilà la Gauche en accord avec la Droite. Et avec le Centre aussi. Candidat UDI dans le Puy-de-Dôme, Flavien Neuvy (@flavienneuvy) gère lui-même son compte Twitter, "un outil extrêmement puissant mais aussi très dangereux". "Un tweet mal pensé, mal rédigé, peu très vite être contre-productif", explique le Twittos au 13 400 tweets et 6 876 followers.



Pour Hada Bourzama (@hadabourzama), candidate socialiste à Clermont, "Twitter est un outil formidable, ça permet de s'exprimer différemment". On pourrait ajouter que les réseaux sociaux permettent également un affrontement direct entre ces hommes et ces femmes désireuses de se voir confier un mandat. Twitter ou Facebook ont parfois des allures de rings où tous les coups sont permis.

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